Parmi les communications présentées en 2013-2014 sur le cancer prostatique, le Pr Laurent Salomon, du service d’urologie du CHU Henri Mondor (Créteil), en a retenu trois qu’il a commentées aux JOUM 2014 : l’hormono-radiothérapie est définitivement la référence des traitements radiothérapiques en cas de tumeurs à haut risque. Désormais, en plus de l’acétate d’abiratérone, on dispose de l’enzalutamide, en pré- et post-chimiothérapie par docétaxel. Quant à la question sur l’utilité de l’hormono-chimiothérapie en cas de cancer métastatique viscéral, elle demeurera en suspens tant que l’essai CHAARTED présenté à l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) en juin 2014 ne sera pas publié. Réservé aux abonnés