Les conséquences sexuelles et relationnelles du cancer de prostate et de ses traitements sont responsables d’une détérioration importante de la qualité de vie de nos patients, majorant le contexte anxieux et dépressif propre à la maladie cancéreuse. Quelle place pour une prise en charge, quand doit-elle intervenir et sous quelle forme ? Le point avec le Dr Colson. Réservé aux abonnés