Avec l’arrivée de l’avanafil en avril 2014, l’offre des inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 se complète. Deux tiers des hommes souffrant d’une dysfonction érectile avérée – quelle qu’en soit l’étiologie – retrouvent une sexualité qu’ils estiment satisfaisante grâce à cette première ligne de traitement. Notions de bon usage de ces molécules facilitatrices de l’érection, d’efficacité équivalente. Réservé aux abonnés