Avec l’arrivée de l’avanafil en avril 2014, l’offre des inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 se complète. Deux tiers des hommes souffrant d’une dysfonction érectile avérée – quelle qu’en soit l’étiologie – retrouvent une sexualité qu’ils estiment satisfaisante grâce à cette première ligne de traitement. Notions de bon usage de ces molécules facilitatrices de l’érection, d’efficacité équivalente. Réservé aux abonnés
La dysfonction érectile en 2014 : se repérer entre les IPDE 5
Par Pr François Giuliano, urologue, sexologue, Hôpital Raymond Pointcarré, Garches|2015-06-08T11:22:03+01:0017 septembre 2014|Articles, THÉRAPEUTIQUE|0 Commentaire
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